"La redéfinition et la limitation de la définition de la lettre et la mise en concurrence des envois avec un contenu non textuel toucheront les zones rurales et peu peuplées où le marché n'est pas intéressé à opérer. Il est nécessaire que les entreprises ainsi que les services publics des zones rurales et peu peuplées continuent également à considérer les lettres et colis de marchandises comme faisant partie du service postal universel.
Si, pour que les prix de chacun des services inclus dans le service universel soient raisonnables, orientés vers les coûts, ouverts à la transparence et non discriminatoires, une aide d'État est requise, alors, du point de vue de la préparation du public, il est nécessaire de faire en sorte qu'il en soit ainsi",